
Air
« En matière de qualité de l’air, ce n’est pas seulement l’application de nouveaux procédés qui...
L’urbanisme s’est emparé il y a quelques années de thèmes qui lui étaient auparavant étrangers ou...
SUEZ a été associé au démarrage du projet et pilote le groupe de travail sur la qualité de l’air. Le Groupe va mettre en place un système de surveillance de la qualité de l’air qui servira d’outil d’aide à la décision par les acteurs publics locaux et permettra aux citoyens d’avoir plus d’informations sur l’air qu’ils respirent. Comme l’explique Nicolas Prego, Directeur technique Smart & Sustainable Cities chez SUEZ : « Aujourd’hui, il y a beaucoup d’inconnues. La plupart des polluants sont souvent invisibles pour la population. On manque de chiffres précis sur la quantité de polluants respirés à quel endroit de la ville et à quelle heure. Le degré de précision est de l’ordre du km et deux cartes sont disponibles par jour. Demain, les habitants pourront disposer d’une information à l’échelle d’un numéro de rue et quasiment en temps réel. De son côté la puissance publique pourra, à l’image d’un pilote d’avion qui a besoin d’un tableau de bord pour agir, disposer d’une carte lui permettant de piloter ce sujet et de prendre des décisions. »Pour Bernard Weisbecker, Président de l’Agence d’Urbanisme de la région Flandre Dunkerque, « ce n’est pas seulement l’application de nouveaux procédés qui compte, mais aussi la confiance qu’a le public dans les données qui lui sont communiquées sur la qualité de l'air. Il faut être très transparent vis-à-vis du public. Nous sommes d’ailleurs en train de chercher de nouvelles méthodes pour communiquer au plus près des gens. »


