- Accueil
- Toutes nos actualités
- Améliorer la qualité de l’air que l’on respire
Air
Améliorer la qualité de l’air que l’on respire
Pour ce 1er épisode du podcast « LeadTheChange, tous acteurs du changement », Jérôme Arnaudis, Directeur Qualité de l’air chez SUEZ, nous parle des capacités dépolluantes des végétaux - arbres et micro-algues - et de solutions innovantes pour améliorer la qualité de l’air dans les villes, particulièrement dans les lieux sensibles, comme les cours d’école ou les métros.
Respirer un air pur dans les villes. En 2020, cette aspiration est plus prégnante que jamais. De nombreuses capitales mondiales y répondent en déployant des plans d’action à grande échelle. Car même si la tâche est immense la bonne nouvelle, c’est que des solutions existent.
Pour Jérôme Arnaudis, Directeur Qualité de l’air chez SUEZ, il y a eu une prise de conscience mondiale autour de la nécessité d’améliorer la qualité de l’air. Le sujet de l’air intéressait relativement peu il y a cinq ans. Il est aujourd’hui devenu central avec la crise du COVID.
Pour Jérôme Arnaudis, Directeur Qualité de l’air chez SUEZ, il y a eu une prise de conscience mondiale autour de la nécessité d’améliorer la qualité de l’air. Le sujet de l’air intéressait relativement peu il y a cinq ans. Il est aujourd’hui devenu central avec la crise du COVID.
Amener plus de nature dans les villes, en végétalisant les murs des immeubles ou en plantant des d’arbres. C’est le parti pris qu’ont adopté des villes comme Londres pour améliorer la qualité de l’air. La végétalisation des villes ne suffit pas à capter les polluants atmosphériques. C’est pourquoi les solutions de traitement de l’air sont complémentaires aux capacités dépolluantes des végétaux - arbres et micro-algues - sur lesquelles d’ailleurs elles s’appuient pour améliorer la qualité de l’air.
Les arbres et les micro-algues ont des capacités dépolluantes différentes.
Deux actions prioritaires sont à mener dans les villes : la réduction de la pollution à la source par de bonnes pratiques et quand on ne peut pas faire autrement la dépollution de l’air, particulièrement dans les endroits les plus sensibles comme les cours d’école car on sait que les enfants sont particulièrement exposés à la pollution.
Il est également possible d’améliorer la qualité de l’air dans les transports souterrains. SUEZ développé la solution IP’Air en partenariat avec la RATP : un dispositif innovant pour améliorer la qualité de l’air dans le réseau ferré francilien en réduisant la pollution aux particules fines émises par les systèmes de freinage des trains et métros.
Certains pays investissent plus que d’autres pour la qualité de l’air et développent des solutions innovantes comme à Séoul, en Corée du Sud, où des trains spéciaux circulent pour nettoyer l’air en captant les particules fines.
L’intelligence artificielle peut nous aider à mieux comprendre les problèmes de pollution et à mieux les anticiper.
"Nous avons développé un outil numérique qui produit une carte très détaillée de la qualité de l'air en ville."
L’aménagement des villes, horizontales ou verticales, a un impact sur la qualité de l’air. Les villes horizontales sont moins exposées à la pollution car l’air y circule plus facilement, il n’est pas empêché par la présence de bâtiments très hauts.
Chacun peut agir pour améliorer la qualité de l’air dans les villes en ajustant son mode de déplacement si l’air est de mauvaise qualité : en privilégiant par exemple les transports en commun ou les mobilités douces – la marche à pied, le vélo… ou encore en changeant son itinéraire (surtout pour les personnes les plus vulnérables).
Ecouter l’intégralité du podcast :
1er épisode de Lead The Change sur la qualité de l’air
Partager cet article
Pour aller plus loin
A découvrir sur ce site